22 décembre 2011

Pourquoi Pubys a disparu pendant 6 mois, et autres mystères non résolus.




Ne la regardez pas dans les yeux, ne la nourrissez pas après
minuit et ne prononcez pas son nom 3 fois à la suite.

Ce serait un euphémisme de dire que nous nous sommes faites rares ces derniers temps. Pas parce que nous nous tuions au travail par ailleurs. Pas parce que nous avions un nouveau projet de blog bien plus intéressant qui nous aurait rendues riches et célèbres et qui nous aurait permis de faire du jet ski en string argenté à Marbella avec Igor Bogdanov (mais sans Grichka, on est brouillés, le mec nous a soulées) . Ce n’est pas non plus parce que nous avons accompagné Jean Luc Delarue dans son tour de France anti-drogue en camping car (en camping car, faut pas déconner non plus). Ni parce que nous nous étions entretuées autour du susdit débat « acheter des vêtements à Babou : un peu contre mais quand même pourquoi pas OU plutôt acheter l’album de Christophe Maé, aller se le faire dédicacer à la Fnac et se crever les yeux avec en public sans anesthésie préalable ». Encore moins parce que nous avions décidé de donner de notre temps pour aider les autres ou pour faire de bonnes actions, Dieu ne nous le rendra pas.

Je vais arrêter immédiatement cette liste de ce que nous n’avons pas fait avant que vous ne pensiez que j’ai plagié Laurent Ruquier et sa rubrique de début d’émission des invités qui ne viendront pas. Ce qui sous-entendrait que je me mette ensuite à faire des jeux de mots pourris (pas le genre de la maison), que je porte des lunettes carrées à la mode en 2001 et que je poste un clip des Rasmus (qui soit dit en passant serait le parfait exemple de ce qu’il ne faut pas faire musicalement, capillairement, et esthétiquement quand on ne veux pas brûler dans les flammes de l’enfer pour l’éternité).

Je pourrais vous dire que nous sommes parties pour mieux nous retrouver en phase avec nos aspirations personnelles dans une ferme bio en Ardèche ou dans un ashram en Inde. Ou que nous n’étions plus sur la même longueur d’onde et que nous préférions nous séparer avant de tout gâcher. Ou encore que nos chemins se séparaient pour mieux se retrouver. Ou que le temps nous avait usées. Ou que tout était de la faute de Yoko Ono.

On pourrait se trouver des excuses pour ne pas avoir écrit les articles sur les supers thèmes que nous avions trouvés et validés. On en a plein des excuses, moi par exemple j’ai fait des travaux dans mon appartement. Et je suis partie une semaine en vacances aussi, l’été. Et j’ai procédé à de l’espionnage à grande échelle, inutile mais ô combien jouissif, sur Facebook. Et sur Twitter aussi un peu. Et je suis allée à Ikea. Plusieurs fois.

Comme nous n’avons aucun compte à vous rendre (manquerait plus que ça) ces justifications sont bien inutiles, et ce même si l’innocence de Yoko Ono dans cette affaire reste à prouver.
En fait je crois qu’on avait juste la flemme.
Mais comme ça nous manque un peu d’écrire et de recevoir vos lettres de compliments, vos pluies de flatteries et des milliers de roubles en petites coupures dans nos soutiens gorges, nous allons revenir. Bientôt. Et Pubys, tel le Phoenix, va renaître de ses cendres. Je vous jure.

Nota Bene : Sachez enfin que je connais très peu l’émission « on n’est pas couchés» de Laurent Ruquier étant donné que je suis bien trop occupée le samedi soir pour la regarder.
On m’en a juste parlé.
Je l’ai peut être vue une fois.
Que le début.
Parce qu’on m’avait retenue prisonnière dans une geôle tchétchène avec une seringue remplie du virus de la variole sous la gorge. Et aussi avec des bébés pandas menacés de mort par pendaison si j’essayais de résister.
True story.


1 commentaire:

  1. Et là, c'est quoi l'excuse ? 11 mois d'absence ma ptite'demoiselle! Va falloir allez sous...euh...dans le bureau du directeur!

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